Roger Winkler

“Pour Roger Winkler, l’art et le réel sont intimement liés. Aujourd’hui, Roger est un artiste photographe reconnu pour sa vision du réel proche de l’humour et l’auto dérision.
À vingt ans, il débute comme photographe scientifique à l’Université de Montréal puis bifurque vers la photographie publicitaire et travaille dans d’importants studios d’Amérique du Nord. Mais son art lui apparaît de plus en plus un exercice futile et mercantile de vente de produits ! Il laisse tout tomber pour retrouver son but initial : s’exprimer à travers l’image.
Marqué dans sa jeunesse par les grands-maîtres, les eaux fortes en particulier, il transpose dans son travail vers ses lointaines influences. Ni photo ni peinture, ses créations allient techniques photo et informatiques lui donnant ainsi son identité d’artiste professionnelle.”
– Nicole L. –

« Le style unique est l’apothéose libre et sans entraves de l’univers de cet artiste.
La technique combine apprentissage, techniques sophistiquées et instruments de précision.
Ces images dépassent largement les frontières du conventionnel.
C’est la voie de Winkler. » – Fine Art America (Traduit de l’anglais)

“L’image a toujours été au cœur de l’existence de ce photographe canadien qui n’a pas son pareil pour percevoir l’invisible.
Pour Roger Winkler, le monde est un immense buffet pour des photographes avec cette nature incroyable qui l’inspire tant.
Dans un style a la fois minimaliste et rêvé, l’artiste nous offre des œuvres épurées, qui nous touchent directement au cœur, des clichés qui rappellent l’impressionnisme et cette façon si unique et bouleversante de partager un ressentiment, une idée.
Roger Winkler aime particulièrement cette phrase de Paul Klee: « On voit d’un œil et on ressent d’un autre », une manière pleine de poésie de nous faire comprendre a quel point le regard et l’âme sont connectés, sachant lire une photographie pour tirer l’essence-ciel !
– Art & Design –

Même l’objet le plus simple possède une beauté intense. C’est en réalisant la vie présente en toute chose, que je découvre le monde en toute sa merveilleuse plénitude.
Quand j’ai commencé en photographie, il y a près de cinquante ans, je « prenais » des photos. Ce n’est qu’avec le temps que je me suis permis de « faire » des images. Ensuite, l’évolution technologique de l’argentique au numérique a grandement facilité la tâche. Cette importante transition m’a soulevé de « l’ère du chimiste » vers « l’ère de l’alchimiste ». Roger W